Je m’appelle Haze. Je suis un photographe publicitaire installé dans le sud-ouest de la France. On me considère généralement comme un photographe de danse et des arts du spectacle. Mon style de photographie a sensiblement changé au cours des deux dernières années, et cela s’est produit au moment où j’ai découvert la gamme Fujifilm GFX.
J’ai commencé à utiliser le GFX50s en 2019, puis je suis passé au GFX100. Maintenant je travaille au GFX100s pour la plupart de mes travaux. Ce système a changé ma façon de photographier les gens. Il m’a offert une nouvelle perspective sur ma photographie et m’a poussé vers un travail plus personnel. Je réfléchis maintenant plus précisément à chaque prise de vue, à chaque élément que j’y incorpore, car tout dans mes images devient important, bien plus qu’avant.
Photographier des danseurs et des artistes restera une part importante de mon travail. J’ai appris le métier par la photographie de danse et le plaisir de photographier les danseurs est toujours présent. Quel que soit le domaine dans lequel la photographie me mènera, je pense que je trouverai toujours le temps de photographier ces êtres humains étonnants.
La première chose qui a attiré mon attention lorsque j’ai utilisé le GFX100s, c’est son ergonomie, sa taille et son poids. C’est quelque chose de très important pour moi, car je suis souvent en déplacement et je photographie principalement en extérieur. J’utilise parfois mes appareils photo dans des angles et des perspectives inhabituelles. Il m’est arrivé de suspendre mon appareil au plafond, attaché à une perche et je déclenchai l’appareil avec l’application Fujifilm camera Remote. Dans ce type de situations, vous devez faire les choses en toute sécurité, et un appareil photo plus léger aide grandement.
Disposer d’un système que je peux facilement oublier pour me concentrer davantage sur mon travail est vraiment important pour moi. Pour y parvenir, je dois pouvoir personnaliser mon appareil photo. Or sur le GFX100S vous pouvez enregistrer jusqu’à 6 réglages personnalisés et réaffecter certains des boutons. Nous sommes tous différents, alors le fait de pouvoir m’approprier un appareil photo facilite la tâche.
Pour moi, la confiance est essentielle, je ne veux pas être inquiet des performances de mon appareil photo. Avec une telle résolution, on pourrait penser que la prise de vue sur un trépied est obligatoire. Mais heureusement, vous pouvez faire confiance au GFX100s pour de nombreuses prises de vue à main levée grâce à la stabilisation d’image intégrée au boîtier.
Lors de ces séances à l’intérieur du Château la Louvière et du Château la Tour Carnet, j’étais accompagné de 4 danseurs, d’un ex-gymnaste et d’un mannequin. Mon objectif est de célébrer chaque être humain devant mon objectif. Je veux mettre en valeur leur travail intense et leurs capacités extraordinaires. Mais au-delà de leur puissance, c’est leur grâce que j’essaye de saisir, et bien sûr un instant de leur vie.
J’essaie de bien connaître mes modèles avant la séance. Une fois sur le plateau, nous discutons ensemble de l’ambiance, des poses, nous répétons avec l’équipe, puis nous lançons dans la prise de vues. Je fais de mon mieux pour tout faire dès cet instant, mais parfois, en raison des restrictions de temps liées au lieu de tournage, nous devons trouver de petites astuces pour que cela fonctionne.
Qu’il s’agisse de simples portraits ou d’images plus créatives, chaque détail compte et les lieux jouent un rôle important dans mon travail. La préparation est essentielle, je dois avoir une connaissance de base de l’espace dans lequel je photographie avant la séance. Je dois savoir où se trouvent les fenêtres et les sources de lumière, la taille des pièces, les couleurs et la hauteur des plafonds. Il m’arrive même d’esquisser certains de mes clichés et de dresser la liste des différents accessoires dont je pourrais avoir besoin, ainsi que des configurations d’éclairage que je pourrais utiliser. Cela ne veut pas dire que je ne me laisse pas aller à l’improvisation sur le plateau. C’est pourquoi la compacité du GFX100S par rapport à son grand frère est un atout majeur pour moi.
Pour toutes ces séances avec le GFX100S, j’avais dans mon sac le GF110mm f2, le GF64mm f2.8, le GF30mm f3.5, et le GF23mm f4.
Le style grand format n’est pas un gadget. Je me souviens encore de la première fois où j’ai travaillé avec des fichiers GFX. Je suis encore étonné aujourd’hui par la qualité des images obtenues avec le système GFX. Je prends toujours des photos en RAW parce que j’ai besoin de la meilleure image que le capteur peut me donner. Avec le GFX100s, j’ai les détails et assez de dynamique pour pousser mes images en post-production. Si je veux des images sombres, des ombres profondes, si j’ai besoin d’une image sous-exposée pour des raisons créatives, je peux aller les chercher ! Je sais que je disposerai toujours de tous les détails nécessaires à mes scènes. Cela ouvre la porte à de nouvelles possibilités et me donne plus d’options pour mes créations.
La résolution est un élément dont je pensais ne pas avoir vraiment besoin et qui est devenue un réel gain de temps maintenant. J’avais l’habitude de travailler avec des appareils me proposant des images d’environ 20 à 24 mégapixels. J’étais toujours un peu inquiet à chaque prise de vues et je devais passer du temps à balayer la scène pour être sûr d’avoir une grande variété d’images parmi lesquelles mon client pourrait choisir. Même si j’aimerais que mes clients utilisent toujours le cadrage original, maintenant, je m’inquiète moins car je sais qu’ils peuvent potentiellement utiliser n’importe quelle de mes images et la recadrer sérieusement sans crainte de perdre trop de détails.
Ce nouveau boîtier est petit mais pas trop. Je peux l’emmener partout avec moi, sans penser à son encombrement et sans sacrifie sur toutes les améliorations majeures que Fujifilm a apportées avec le GFX100. Si la taille et le poids du GFX100 pouvait être un problème, le GFX100s est une synonyme de liberté.
Le GFX100s est parfait pour le professionnel en activité ou pour quiconque a besoin d’un appareil photo compact, polyvalent, sans aucun compromis en termes de qualité d’image.
